martes, 30 de junio de 2009
Falta de Voluntad
Ahora me pongo delante del ordenador, con falta de costumbre y también de volunta. Voluntad para buscar lo de siempre, y de encontrar la motivación para ponerme cada 15 minutos delante del libro de inglés sin distraerme con la primera cosa que caiga entre mis dedos, ya sea un boli bic o un teclado de ordenador. No me concentro y estoy descentrada. Como esos cuadros que te quedas mirando en la pared durante toda una vida pensando que está mal colocados. Intentas centrarlos y sigues viendolos algo "vertical" sin saber como hacer para cambiarlo de posición. Ahora me salen las palabras a borbotones, y los dedos no pueden parar. Estoy feliz pero descentrada. Eso ya es un comienzo, no?Me hace falta una rutina, que siemrpe escribo en la agenda pero que raramente cumplo al pie de la letra.
Falta de voluntad, de motivación, de caracter, de tantas cosas que cuando comienzo a enumerarlas me vuelvo a perder. Lo peor es que los ánimos no sirven, sino son de mi misma que los recibo. La buena voluntad de los otros es insuficiente, ya que la que necesito es mi buena voluntad para ponerme delante del libro y seguir adelante. Puesta a punto y ya esta todo dicho. Que me salga ese poderío que tengo muchas veces y que anima hasta a los gusanos! que hagan viento los fantasmas y los malos pensamientos dejando espacio libre en el alma!
Quiero seguir. Quiero continuar.
Mil besos
domingo, 21 de junio de 2009
Sweet Taste of America
jueves, 18 de junio de 2009
Menu para 40
Je faisais atelier de flamenco pour une reconnaissante Stella, qui aimait plus le son que je faisais pour guider le rythme du danse (ta ta tatata ta ta tatata) que le propre mouvement à réaliser. Autres se déguisent de Saint Fermin (Pamplona) avec un tissue rouge autour le cou, et d’autres rirent et pleurent selon ses sentiments. 40 personnes, entre enfants, accompagnateurs et un groupe de scouts bénévoles, ont été ce weekend dernier pour célébrer un weekend de « À bras Ouverts »(l’association avec laquelle je collabore normalement) avec le sujet de VIVA ESPAÑA. C’est difficile résume tout les sentiments de ce weekend dans un peu des lignes. Mais je peux vous confirmer qu’une sourire de chacun d’entre eux, ou simplement le soutien de la main de ceux qui malheureusement ne peuvent pas sourire, est très enrichissant pour moi. Quand je termine weekend comme ceci, je me sens égoïste parce que je sens qu’ils me donnent plus en comparaison avec les choses que je peux les donner. Ils me fassent retourner chez moi en pensant que mes problèmes sont moins important à l’heure de vivre la vie.
Après de mon weekend plein des yeux très ouverts et des bouches encore plus, j’ai reçu enfin mon nouveau canapé d’IKEA…quelle bonheur quand je l’ai fini après l’avoir monté toute seule !!je me suis senti comme superwoman !! et quand j’ai fini la commode…imaginez !! la bonheur complète !!Je n’ai pas besoin d’un homme si j’ai le manuel d’instructions, un marteau et un tournevis..le reste c’est pas nécessaire.
Il y a peu des choses qui restent pour être faites, et beaucoup des sourires pour donner. Bien que le temps n’accompagne pas. Nous sommes à la moitié de juin, et quand nous pensons au soleil l’idée que nous avons dans notre tête est un bref souvenir du passé. Le temps est une punition, et je le dit sérieusement. Je suis fatigué d’écouter sur la grippe A, B ou C. J’ai besoin d’habiller mes nouvelles sandales que j’avais acheté d’occasion ou pantacourts…mais je crois que je les habillerais en hiver…et c’est possible que dans c’époque il fera beau.
Aujourd’hui je suis allé à une petit-déjeuner où des professionnels dans le secteur de la communication ont analysé les medias espagnoles en comparaison avec le media internationaux. J’ai fini avec un douleur insupportable de cou avec autant de mouvement d’affirmation que j’ai faisait après chaque apport de les participants : le sujet sur l’influence de la publicité dans les medias espagnoles, la politisation excessive de chaque groupe multimédia, les caractéristiques d’un publique qui est guidé par ses émotions plus que pour la qualité de l’information, et une image des journalistes plein de rancune et désire de vengeance contre ceux qui veulent le faire du mal. Il m’a semblé très intéressant, avec des personnes très importants dans le milieu comme journalistes de Cadena Ser, correspondants du TVE et d’Europa Press, et l’expérience d’une ancienne directrice de communication d’ONO. On peut demander plus ?
Bises.
jueves, 11 de junio de 2009
Viva España!!
lunes, 8 de junio de 2009
Elecciones europeas a la francesa
miércoles, 3 de junio de 2009
Tragedia aérea
martes, 2 de junio de 2009
Así lo hizo Chanel
Cuando pensamos en tomar riesgos, pensamos que siempre hay algo que se deja en el camino, que tenemos que abandonar algo que para nosotros es igualmente importante. Realizar un sacrificio. Pero cuando dejamos ese algo debemos pensar que no es un sacrificio, sino qeu lo que vamos a obtener es aún más rico de lo que creiamos, y por eso merece la pena seguir luchando.
La filosofía francesa de vivir va penetrando aún más. La forma de ver la vida como un campo de batalla, llena de amigos y de compañeros de batalla se va haciendo más cercana. No quiero cerca de mi aquellos que con argumentos negativos intenten acomodarme a lo que me vengan. No quiero ser una mujer con la que tomarse un café de vez en cuando, sino que quiero ser la que conoce el Café que toma, sus origenes, como es la mejor manera de hacerlo, y saber mientras lo toma que después del café sigue la vida y la lucha con ella. Esta ha sido la enseñanza de Chanel. No te pongas ni corsé, ni vestidos que no te dejen respirar. Nada de sombreros desorbitados, sino aquellos que dejen ver tu sonrisa, y tus ojos, para que los demás vean que eres feliz.
Así lo hizo Coco.
Mil besos.
Gabrielle Chanel, pour les amis "Coco", était une innovatrice et une révolutionnaire. Avec un passée difficile, et un possible future plein de pauvreté, elle cherchait ses opportunités, en risquant, en luttant, et quelque fois en perdant. Mais comme quelqu’un dit « Il n’y a rien écrit sur ses personnes qui ne luttent pas » … donc, elle luttait. Elle luttait aussi fort, que elle faisait révolutions dans le monde de la mode que aujourd’hui peuvent être ridicule, mais que dans son temps étaient très important. Le rôle de la femme qui ne voulait pas se marier, qui ne voulait pas dépendre des hommes, avec trop orgueil et valeur comme pour faire voir le monde qu’elle avait un don. Ce don consistait en connaitre les tissus, la forme des robes pour se bouger bien, les couleurs élégants, la structure et les tailles, etc. Personne ne croyait en elle…mais finalement, comme elle disait à sa sœur « demain, tous tueraient pour manger dans notre table »
Quand on pense en prendre des risques, on pense que toujours il y a quelque chose qu’on doit laisser dans le chemin. On doit abandonner quelque chose qui est important pour nous. C’est un sacrifice. Mais quand on laisse ce « quelquechose » nous devons penser que ce que on va obtenir est plus riche que nous pensons. C’est pour ça qu’il faut continuer la lutte.
La philosophie française pénètre encore plus en moi. La façon de voir la vie comme un champ de la bataille, plein des amis et des collègues, est chaque fois plus proche à moi. Je ne veux pas à coté de moi tous ces gens qui me donnent conseils négatives ou qui essayent me faire sentir confortable a tous les choses qui arrivent à ma vie. Je ne veux pas être une femme avec laquelle prend un café de temps en temps, mais laquelle qui connait la précédence du café, ses origines, la meilleur façon du faire, et après le prendre, continuer avec la vie en luttant. Celle-ci a été l’enseignement de Chanel. Tu n’habilles pas du corset, non plus des robes qui ne te laisse pas respirer. Ne habiller pas des chapeaux trop grands, mais ceux-ci qui laisse voir ta sourire, tes yeux, pour montrer à tout le monde que tu es heureuse.
C’est comme ça que Coco le faissait.
Bises